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C’est une oppression unilatérale et une agression. Unilatérale. Parce que les enfants n’ont pas leur mot à dire. (Oui, c’est vrai.) Ils ne demandent même pas leur permission ou leur accord, rien. C’est carrément, comment dire… (De l’abus.) Abus, bien sûr, mais ce n’est pas un mot assez fort pour moi. Je ne peux trouver de meilleur mot. « Abuser », « agresser sexuellement » n’est rien. C’est diabolique.
